Mr Paul rentre dans la chambre au bout de longues minutes pendant lesquelles je suis toujours attaché sur le lit.

Il entreprend de m'enlever les liens.

- " Mon amie était contente, je dois te féliciter.Tu es un bon joujou.. J'espère que celà va continuer parce que l'aprés midi n'est pas terminée..Pour l'instant file te refaire une beauté.."

Mon excitation passagère est vite retombée.

Je reste un long moment sous la douche, comme pour me laver de cette humiliation..

Je rejoins Mr Paul dans la cuisine.

Il me propose un café que j'accepte..

Je dois le boire assis à ses pieds. Il lit son journal et fume une cigarette..

Le temps passe....

La sonnette...

- " Va dans la chambre, ma deuxième amie est là."

L'attente....Seul dans la chambre.. L'anxiété.. Qui vais je découvrir?

La porte s'ouvre. Rentre une femme.

Encore une vieille.. Celle là a l'air d'une sorcière. Elle me rappelle la méchante de Blanche Neige.

Elle est nue mais, bizarrement, elle a gardé ses colants.

" Bonjour mon beau, me dit elle en me regardant d'un air moqueur, alors c'est toi qui va me faire minette ?

- Bonjour Madame, je suis à votre service

- Comment t'appelles tu ?

- Comme vous voudrez , Madame.

- En voilà un jeune homme poli. Approche un peu.

Elle  me lie les mains. Puis elle me baillone.

Elle a l'air satisfaite de son travail.

- Je t'interdis de me toucher sauf avec ta langue quand je te le dirai. J'ai horreur des mains de machos sur mon corps.

Tu parles, elle ne doit pas souvent avoir l'occasion de se faire peloter...

Elle s'agenouille devant moi.

- Voyons cette ridicule petite bite.. C'est avec ce petit vemisseau que tu as l'intention de me faire jouir ?

- Oui Madame, ne puis je que grommeler à travers mon baillon

- Paul m'a dit que tu étais marié? Ta femme ne doit pas être trés satisfaite avec ce petit truc..

Elle prend tout de même ma queue dans sa bouche..

J' ai encore plus de mal à bander que lors de la première séance, pourtant je sais qu'il faut que j'assure, je suis tombé sur une vicelarde qui m'humiliera et me punira si je ne la satisfait pas.

Alors je fantasme, j'imagine, je me met en situation érotique et j'arrive à me déconnecter de la réalité.

Mon sexe prend alors un volume et une dureté suffisante pour qu'elle me pousse sur le lit, m'attache les chevilles et vienne s'empaler sur mon organe.

Commence alors une série de va et vients. Elle cherche son plaisir, se touchant les seins, se masturbant par moments.

Pas un mot n'est échangé.

Il y aurait un godemichet à ma place que s'en serait pareil.

Elle change de position. et se remet à se frotter

Je la sent se tendre et frémir.. Je pense qu'elle est arrivée à l'orgasme mais elle n'a pas prononcé un mot. Seul son souffle s'est accéléré.

Elle sort .

Mon sexe s'est rammoli.

Elle place sa chatte sur ma bouche et se met à me sucer.

- Lèche moi petite pute..

Elle a enfin parlé.. Quelle amabilité..

Je m'efforce de la satisfaire du mieux que je peux. Pas facile avec mon baillon.

- Elle a un bon gout de chatte ta queue..

c'est donc ça.. Ma bite l'interesse uniquement pour l'odeur du plaisir féminin.. Elle doit avoir des tendances bi refoulées cette nana..

Bien nettoyée, ma queue n'a plus aucun intérêt pour elle.

Elle m'enlève le baillon et écrase son sexe sur ma bouche..

- Fais plaisir à ta Maîtresse...

Sa chatte est trempée, ma langue s'active.

Je manque de m'étouffer avec ses poils.

Elle se frotte.. Je suis la cadence et me concentre sur son bouton..

Vite, que celà se termine.

Je sens ses jambes trembloter et elle s'arrête tout d'un coup se sortant de sa position brusquement.

Elle reprend ses esprits un petit moment, couchée sur le lit, les yeux clos.

Je jubile.. je l'ai eue...

Elle se lève.

Elle a récupéré.

Je ne vois que de la gène dans ses yeux quand elle me dit avant de sortir.

- C'était pas terrible. Je regrette mes 150 €uros.

Et c'est là que j'ai compris que Mr Paul me prostituait..........

Hier soir...

22 heures ... Ma femme et moi sommes seuls à la maison...

" J'ai envie de baiser" dit elle en se levant de son fauteuil et elle file sous la douche..

Celà lui arrive parfois d'avoir de telles envies et elle sait les exprimer clairement..

Moi je suis content, je suis tout joyeux...

Elle revient, habillée..

Etrange...

Je m'approche tout de même d'elle, tendre, calin.

-" Qu'est ce que tu fais? Tu ne croyais tout de même pas que c'est avec toi que j'avais envie de baiser?"

- Euh...

- Eh bien non !!!. Déshabille toi que je calme tes ardeurs."

Nu en un tour de main elle me place sur le sexe un de nos chastity toys.

- " Voilà, maintenant tu te rhabilles et on sort "

Qu'est ce qu'elle a encore bien pu inventer pour m'humilier?

- " Et n'oublie pas l'appareil photo !!"

Nous voilà partis... Elle m'indique un lieu de rencontre nocturnes bien connu de notre ville..

Arrivés sur les lieux elle me fait stopper la voiture en plein milieu d'une clairière.

Elle allume le plafonnier et commence à se caresser et à se masturber avec un god qu'elle a pris soin d'amener.

Un premier voyeur s'approche et ne tarde pas à se mêler aux ébats de ma femme.

Moi je commence à photographier.

J'ai honte.. Si quelqu'un nous reconnaissait...

Je suis excité aussi... Qu'elle belle salope..C'est aussi pour ça que je l'aime...

Elle me regarde en souriant...

Elle sait que je vais , encore une fois, boire le calice jusqu'à la lie..

Les mains du voyeur-tateur, parcourent son corps, caressent ses seins.

Je peux entendre le bruit mouillé que fait le phallus plastique en entrant et sortant de sa chatte trempée.

Cet ersatz de sexe ne lui suffit plus.

Elle sort de la voiture offrant son corps à son ami du soir.

Installée sur le capot elle se laisse besogner, et moi je flashe..

Dans toutes les positions elle se donne sans retenue..

Attiré par les éclairs, un jeune voyeur s'approche.

Excité, il sort sa bite et commence à se toucher..

La vision de ce jeune sexe bandant pour elle la rend folle et elle commence à jouir en poussant de grand cris.

L'homme qui la lime ne résiste pas longtemps ...

Il prend son plaisir à son tour...

Le jeune homme s'approche d'elle. Il se demande s'il va pouvoir profiter de l'aubaine.

Elle lui fait signe de venir plus près.. Elle en veut encore..

Et c'est reparti..

Il est si excité qu'il veut la prendre dans toutes les positions..

Elle aussi... Ca tombe bien...

Quand enfin il a terminé, sa timidité reprend le dessus.. Il remercie celle qui lui a donné tant de plaisir et s'en va presque en courant..

Il est temps pour nous de rentrer à la maison.

De retour ma Maîtresse s'assied sur un fauteuil et me demande de lui servir à boire..

Epuisée par sa soirée elle trouve encore le moyen de m'humilier encore.

" A genoux devant moi et rend hommage à ta Maîtresse" m'ordonne t elle en écartant ses cuisses.

Et me voilà entrain de lécher son intimité, de nettoyer l'endroit ou, quelques minutes auparavant, deux hommes inconnus ont pris leur plaisir.

"T u aimes ça hein? Petite salope.."

" Oui Maîtresse" ne puis je qu' ajouter avant qu'elle ne se lève pour faire descendre mieux tout le contenu de sa chatte.

Dimanche : jour de repos. J'attendais une convocation... Rien ne vient. Tant mieux ou tant pis.... Je ne sais plus.

Lundi midi : J'ai des nouvelles de Mr Paul. Nous discutons un peu. Il me demande si j'ai apprécié la soirée de samedi.

Je lui rétorque que mon plaisir passe au second plan, que mon Maître m'a confié à lui, que je suis là pour obéir et lui donner satisfaction.

Il veut quand même savoir si ce genre de relations ne me rebute pas. Il es soucieux de mon ressenti et je lui en sait gré.

Je lui avoue que, oui, j'ai apprécié d'être exhibé, d'être traité en vide couille, en lopette. Oui je me suis laissé aller, emporté par ma sensualité. Et oui, j'ai eu honte une fois l'excitation passée.

Il m'attend ce soir après souper..... Il ne sera pas seul...

Lundi soir : 21 heures. Je sonne, il m'ouvre.

J'entend des bruits de voix dans le salon. Je file à la salle de bain. Une tenue de soubrette m'y attend.

Le petit tablier blanc de rigueur enfilé, je frappe à la porte du salon avant d'y pénétrer.

Un énorme éclat de rire m'accueille. Je sens le rouge me monter aux oreilles.

Outre Monsieur Paul, il ya aussi le grand bonhomme noir qui avait gagné une fellation et une belle femme blonde toute de noir vêtue.

" Je vous présente ma bonne dit Mr Paul hilares.Elle s'appelle Lopéta

"Alain tu la connais déjà, Martine tu vas faire sa connaissance. Lopéta, va présenter tes hommages à mes invités et sers nous à boire"

" Bien Monsieur"

Je m'approche de Martine le plateau à la main et je la salue. Elle se sert, me dévisage d'un air narquois.

" Qu'y a t il sous cette jupette?"

Elle la soulève pour inspecter ma tenue

Alain quant à lui me dit qu'il a déjà apprécié ma bouche et qu'il lui tarde de découvrir une autre facette de ma personnalité.... Doux euphémisme quand on sait à quoi il fait allusion.

Je m'attendais à tout sauf à le retrouver ici. J'ai encore le souvenir de la grosseur de son engin et j'ai quelques craintes pour la suitede la soirée.

Ils conversent maintenant entre eux comme si je n'étais pas là.

La discution tourne bien sur autour du sexe, de la domination, de leurs expériences, de leurs attentes, de leurs fantasmes.

Martine dit qu'elle apprécie les soumis virils, pas effeminés. Qu'elle adore pervertir et humilier les machos, les soumettre à sa volonté.

Monsieur Paul entend le message et m'ordonne d'aller enlever mon accoutrement et de revenir nu.

A mon retour, seul Alain est présent dans la pièce.

" Je dois partir de bonne heure, se justifie t il. C'est moi qui vais commencer la séance. Tu m'as excité avec ta tenue de salope, suce moi et je vais t'enculer. Je suis pressé. " Ses mots sont crus à dessein.

Il a tôt fait d'enlever ses vêtements. Il est nu. Il bande. Je le prend dans ma bouche.

Il me questionne. Je ne peux lui répondre, il est impoli de parler la bouche pleine et vu la taille de son braquemard, elle est bien remplie

Une capote vient bientôt recouvrir son sexe érigé.

Il me retourne.

Je peux voir, au passage, Martine et Mr Paul qui contemplent le spectacle d'un grand noir doigtant l'anus serré d'un petit blanc sec pour le lubrifier.

Un doigt, deux doigts, trois doigts préparent le passage de sa queue tendue. Je pousse au maximum, essayant de me détendre pour ne pas trop ressentir son intromission.

Deux mains se posent sur mes hanches.

En une poussée il est en moi, forçant mes reins et m'arrachant un cri de douleur.

C'est la première fois que je reçois un tel calibre.

Il attend quelques instants que mes muscles soient habitués à son diamètre et il ressort.

" Tu as bien supporté le passage, maintenant je vais te calibrer"

Et il rentre violemment entre mes reins et commence ses va et vient.

Sa main s'abat sur mes fesses. Il m'insulte, me traite de trou à bites, de salope tout juste bonne se faire mettre...

Ses propres paroles l'excitent, moi aussi d'ailleurselles me font de l'effet.

Je n'ai pas encore eu le temps de m'habituer à sa grosseur que, déjà, je sens son membre gonfler davantage, ses mains se crisper sur mes hanches et un cri sortir de sa gorge quand son plaisir vient au fond de moi.

Il décule me laissant les sphincters chauds bouillants.

Sa queue flasque au bout de laquelle pend un préservatif bien rempli est l'objet de mes soins attentifs.

Comme Maître Jean me l'a appris, j'enlève le bout de caoutchouc et je nettoie doucement l'engin qui m'a possédé de ma langue bien humide.