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  • : 23/01/2007
Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 15:28

Blonde

Fine

Cuir

Bas

Bustée

Regard

J'ai craqué...!!!!!

Par Bruno - Publié dans : Fantasmes
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Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 15:20

Qu'il est bon et doux d'être aux " pieds" d'une charmante et adorée Maîtresse....

Qu'il est ennivrant de lui présenter ses hommages !

Qu'il est troublant de " feuillederositer" son intimité.....

Par Bruno - Publié dans : Fantasmes
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Vendredi 2 mars 5 02 /03 /Mars 15:44
Pour ceux qui ont du mal,....... Vécu ,veut bien dire ce que ca veut dire !!!!!         

Il y a quelques jours j'ai fai la connaissance via le net et un site référencé ici de Maitresse Caroline (qui annonce sous un autre pseudo)

Je l'ai rencontrée hier pour la première fois.

Voici le récit de cette séance, agrémenté de quelques photos ...

Nous avons rendez vous au milieu d'une rue à 16 h 30 .

Arrivé sur place je dois l'appeler sur son portable pour suivre ses instructions.

A l'heure je tente un appel...

" - Maitresse Caroline?

- Tourne toi!!

J'ai du mal à comprendre

- Tourne toi !!!, me répète t elle

Derrière moi, à quelques mètres, je découvre celle qui va me faire subir ma première séance de dressage, c'est une jeune femme brune aux cheveux longs.

Elle me précède à l'étage d'un vieil immeuble dans un appartement vide et en rénovation.

Pour diverses raisons, c'est là qu'aura lieu notre rencontre.

Nous faisons connaissance quelques minutes. Elle m'explique qui elle est, me demande ce que j'attends, qu'elles sont mes expériences, ce que j'aime....

Elle veut adapter ses pratiques à mon cas propre et je l'en remercie.

Elle passe dans la pièce à côté et m'ordonne de la rejoindre dès que je serai nu.

Je suis trés excité par la tournure des évènements. Je me sens en confiance.

Je rentre dans la pièce.

"  - Tu ressorts et tu reviens à genoux !!

- Bien Maîtresse

J'entre à 4 pattes , obéissant comme le bon Toutou que j'escompte devenir.

Je suis maintenant aux pieds de Maîtresse Caroline.

Elle me fait prendre plusieurs poses qui conviennent à ma position d'esclave.

Je suis à ses pieds, elle peut faire de moi ce qu'elle veut.

Je suis tendu, à la limite du tremblement.

 

Elle se penche vers moi et me met un collier au bout du quel pend une laisse.

Ca y est, je suis sa chose.

C'est maintenant l'heure de la promenade.

Tantôt la laisse à la bouche, tantôt me tirant, nous faisons le tour de la pièce.

La cadence s'accélère ou ralentit au gré de ses envies.

Elle allume une cigarette.

Ou mettre la cendre?

" Ouvre la bouche" et elle s'en sert de cendrier..

 Ca a un goût amer mais pas trop désagréable.

" J'ai envie de faire un petit tour. Fais attention à ne pas me renverser" et elle s'installe sur mon dos pour un nouveau tour de la pièce.

J'ai les genoux fragiles. J'ai mal, je commence à fatiguer. Heureusement le petit tour est vite terminé.

La cigarette n'est pas finie. J'ai droit à une nouvelle version du cendrier humain.

Elle sort à présent de sa sacoche une corde.

Je vais être attaché...

Avec précision , elle entame mon bondage.

Mon sexe et mes testicules ont droit à leur morceau de cordage.

Ce n'est pas trop serré, c'est agréable comme sensations.

Mes mains sont liées derrière mon dos.

Elle m'ordonne quelques exercices: Assis, debout, assis...

Ce n'est pas trés aisé d'accomplir ces taches sans l'aide des mains.

Elle me malaxe à présent les tétons, les fait rouler entre ses doigts, les pinces de plus en plus fort pour tester ma résistance à la douleur.

Des pinces à linge sont à portée. Elle m'en place une au bout de chaque sein.

Ca pique un peu mais ca va. Elle me dit que je suis résistant à la douleur. C'est vrai.

Je suis de nouveau à genoux.

Elle me met au coin.

Lié, mains dans le dos, je suis en appui sur mon front contre le sol.

Elle me travaille les seins et place 2 autres pinces au bout de chaque têton.

Une fois la douleur de la pose atténuée, je ne les sens presque plus.

"Ecarte tes jambes et ne bouge plus"

Elle m'examine.

" On va voir ce que l'on peut faire"

J'ai maintenant quelques craintes. Comment mon anus vierge va t il supporter sa première pénétration?

Toujours penché, fesses offertes, je sens un liquide froid dégouliner dans ma raie.

Des doigts gantés forcent le passage.

Malgré une position inconfortable, j'essaye de me décontracter au maximum.

Un doigt, deux doigts maintenant s'agitent dans mon trou, font des va et viens.

" Tu n'as jamais été pénétré? me demande Maîtresse Caroline étonnée de la facilité avec laquelle j'accepte son traitement

- Non Maîtresse jamais.

- C'est impressionant. Tu as de réelles capacités. Tu vas devenir un vrai garage à bites et tu vas aimer ça.

C'est vrai que cette sensation est agréable. Je suis détendu, je n'ai pas mal.

Quatre de ses doigts sont introduits à présent. Ca commence à devenir dur. Maîtres s'en aperçoit et me conseille de me détendre et de pousser.

" Tu veux te caresser?

- Oui Maîtresse

Je suis trés excité. Elle me détache et je me masturbe pendant qu'elle continue à me travailler le cul.

Elle me donne l'autorisation de jouir et je ne me prive pas de ce plaisir.. Il arrive brutalement et trés fortement tandisqu'elle retire ses doigts que j'enserre de toute la force de mes muscles.

Je suis crevé. Toute la tension qui s'était accumulée s'est libérée avec mon éjaculation.

Je la retrouve tandis qu'elle range son matériel.

Toujours à quatre pattes, je la remercie pour cette séance.

 

UN GRAND MERCI MAITRESSE CAROLINE POUR LE PLAISIR QUE VOUS M'AVEZ OCTROYE LORS DE CETTE PREMIERE SEANCE DE DRESSAGE.

J'ESPERE VOUS REVOIR TRES PROCHAINEMENT AFIN DE PROGRESSER DANS MA SOUMISSION.

ENCORE UN GRAND MERCI POUR VOTRE PEDAGOGIE.....

 

 

 

Par Bruno - Publié dans : Vécu
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Mardi 27 février 2 27 /02 /Fév 14:34

Alain s'est rhabillé et est parti.

Me voilà seul avec Mr Paul et la jolie Martine.

Mr PAUL m'envoie faire un brin de toilette.

Quand je reviens Martine est seule au salon, fumant et m'examinant en détail.

Je suis sous le charme de cette magnifique jeune blonde au regard métallique.

" - As tu une Maitresse Lopéta? me dit elle

- Non Madame, j'appartiens à Maître Jean.

- Oui je le connais bien. Il m'a déjà parlé de toi. As tu déjà été dominé par une Maîtresse?

- Pas aussi belle que vous Madame "- Ces paroles sont sorties toutes seules de ma bouche, subjugué que je suis.

Elle sourit :

" - Flatteur.... Je vais prendre un grand plaisir à m'occuper de toi .

- Oui Madame

- A genoux !!  L'ordre cingle. Sa voix a changé. Elle est rauque, grave, dure

Je suis à ses pieds. Sa cravache se promène sur mon dos, sur mes fesses. Quelques coups me font avancer au gré de ses envies mais toujours sans violence gratuite. Elle doit connaître mes limites.

Elle me relève et me désigne une partie de la pièce . Une cagoule m'attend au pied de liens pour mes poignets.

Je suis masqué de cuir noir, j'ai les bras attachés. Je suis à sa merci.

Je sens soudain s'abattre sur mes fesses ce qui ressemble à la morsure d'un martinet.

Les coups pleuvent en cadence sur mes fesses.

Elle insiste sur mon entre jambe, elle remonte sur mon dos, redescend sur mes cuisses.

Si je sursaute à chaque coup, ce n'est pas de douleur mais plus par réflexe. Ce n'est qu'un jeu, je n'aime pas souffrir, elle le sait.

Je ne crie pas. Le voudrais je que je ne pourrais pas. Un baillon obstrue ma bouche.

N'empêche, quand Maîtresse remplace le martinet par un objet plus dur, mes fesses commencent à rougir?

Au bout de quelques minutes de ce traitement, mon postérieur n'a rien à envier à la couleur des tomates en plein été.

Je me sens bien.

Maîtresse me détache. Je peux laisser reposer mes bras et l'admirer s'harnacger d'un bel objet blanc qui contraste avec sa tenue ébène.

Elle s'approche.

" - A genoux !! "

Elle enlève ma cagoule.

" Suce !! "

Et c'est avec délice que prend en bouche un magnifique objet phalique présenté par une sublime femme.

Il m'est bien sur formellement interdit de me toucher. J'en ai pourtant une folle envie.

Maîtresse Martine me relève, me conduit à un chevalet et m'y installe.

Mon postérieur est tourné vers elle, je sais que je vais me faire prendre.

Elle s'approche.

Je l'entend enduire de lubrifiant la prothèse . Ses mains se posent sur mes fesses. Elle m'ouvre.

" Je t'ai vu te faire sodomiser par Alain. Tu as l'air d'aimer ça petite lopette .

Je ne répond pas.

deux violentes claquent s'abattent sur mon cul.

- Elle va répondre quand on lui parle la chienne ?

- Oui Maîtresse j'aime ça.

Et ses mais se posent sur mes hanches, je la sens tatonner pour positionner l'engin.

-Ourfmm . ne puis je m'empêcher de marmonner quand elle pousse ses reins et que je suis pénétré.

Pendant de longues minutes elle me besogne, rentrant, sortant, me parlant, m'insultant.

Plus le temps passe, plus ma dévotion envers elle grandit en moi.

Malgré une inconfortable position, je ne peux qu'apprécier le traitement que je subis.

Elle me libère.

" - Présente tes hommages à ta Maîtresse . me dit elle en me prenant par les cheveux, me forçant à m'agenouiller et présentant ma figure vers son postérieur.

- " Couche toi. On vas voir si ta langue est habile. Tu as plutôt intérêt à assurer, sinon tu vas le regretter. Attention je suis trés difficile.

- Oui Maîtresse je vais m'appliquer.

Ca tombe bien, non seulement j'adore le cunni mais en plus, il paraît que je suis doué.. sans me vanter..

Elle se plante sur ma bouche et je commence mon office.

De sa cravache elle joue avec mon sexe tendu par l'excitation.

Son intimité est mouillée, chaude avec un délicieux gout salé.

Bientôt elle cesse de jouer avec mon instrument. Je la sens se tendre , trembler.

Elle cherche à garder le contrôle mais j'accélère et je la sens jouir sans qu'elle ne dise un mot.

Elle se relève brusquement.

- " Pas mal mais tu as beaucoup de choses à apprendre encore !!

Je souris intérieurement. Je sais pertinemment qu'elle veut et qu'elle doit garder le contrôle. Son " pas mal " sonne comme une récompense et j'en suis fier.

Elle me relève et me place un bandeau sur les yeux.

" Tu as été une bonne chienne. Un bon toutou se récompense par quelques caresses quand il a été sage"

Elle m'assied

" Ouvre la bouche"

J'ai le plaisir et le bonheur de sucer ses têtons.

Je les lêche avec délectation, me régalant de sa peau douce et sucrée.

Comment a t elle deviné mon idolatrie pour les seins des dames ?

" c'est bien, tu es gentil. Je vais t'accorder un plaisir que je donne jamais à mes soumis mais toi, je veux te récompenser. Ce sera la dernière fois. Si nous sommes amenés à nous revoir ne t'attend pas à un traitement similaire. Bien compris ?

- Oui Maîtresse, je ne l'oublierai pas.

Elle prend ma place sur le siège, me demande de m'approcher et de mettre les mains dans mon dos.

Elle saisit mon sexe qui bande instantanément et commence à me masturber.

Sa main douce va et vient sur ma queue dure et de sa main gauche elle se donne du plaisir.

Elle contrôle mon excitation, s'arrête quand elle sent ma jouissance arriver.

" Contrôle toi - me dit elle, je te dirai quan tu pourras jouir.

" J'essaye Maîtresse"

C'est dur de se retenir . Je sens sa main posée sur son sexe s'accélérer, j'entend son souffle devenir court et la main sur ma bite se crisper.

" Vas y, tu peux jouir....

- Merci Maitresse.....Je crie de plaisir en me lachant dans les mains de Maîtresse Martine....

Sublime.!!!!!!

Par Bruno - Publié dans : Soumission
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Jeudi 22 février 4 22 /02 /Fév 17:04

Dimanche : jour de repos. J'attendais une convocation... Rien ne vient. Tant mieux ou tant pis.... Je ne sais plus.

Lundi midi : J'ai des nouvelles de Mr Paul. Nous discutons un peu. Il me demande si j'ai apprécié la soirée de samedi.

Je lui rétorque que mon plaisir passe au second plan, que mon Maître m'a confié à lui, que je suis là pour obéir et lui donner satisfaction.

Il veut quand même savoir si ce genre de relations ne me rebute pas. Il es soucieux de mon ressenti et je lui en sait gré.

Je lui avoue que, oui, j'ai apprécié d'être exhibé, d'être traité en vide couille, en lopette. Oui je me suis laissé aller, emporté par ma sensualité. Et oui, j'ai eu honte une fois l'excitation passée.

Il m'attend ce soir après souper..... Il ne sera pas seul...

Lundi soir : 21 heures. Je sonne, il m'ouvre.

J'entend des bruits de voix dans le salon. Je file à la salle de bain. Une tenue de soubrette m'y attend.

Le petit tablier blanc de rigueur enfilé, je frappe à la porte du salon avant d'y pénétrer.

Un énorme éclat de rire m'accueille. Je sens le rouge me monter aux oreilles.

Outre Monsieur Paul, il ya aussi le grand bonhomme noir qui avait gagné une fellation et une belle femme blonde toute de noir vêtue.

" Je vous présente ma bonne dit Mr Paul hilares.Elle s'appelle Lopéta

"Alain tu la connais déjà, Martine tu vas faire sa connaissance. Lopéta, va présenter tes hommages à mes invités et sers nous à boire"

" Bien Monsieur"

Je m'approche de Martine le plateau à la main et je la salue. Elle se sert, me dévisage d'un air narquois.

" Qu'y a t il sous cette jupette?"

Elle la soulève pour inspecter ma tenue

Alain quant à lui me dit qu'il a déjà apprécié ma bouche et qu'il lui tarde de découvrir une autre facette de ma personnalité.... Doux euphémisme quand on sait à quoi il fait allusion.

Je m'attendais à tout sauf à le retrouver ici. J'ai encore le souvenir de la grosseur de son engin et j'ai quelques craintes pour la suitede la soirée.

Ils conversent maintenant entre eux comme si je n'étais pas là.

La discution tourne bien sur autour du sexe, de la domination, de leurs expériences, de leurs attentes, de leurs fantasmes.

Martine dit qu'elle apprécie les soumis virils, pas effeminés. Qu'elle adore pervertir et humilier les machos, les soumettre à sa volonté.

Monsieur Paul entend le message et m'ordonne d'aller enlever mon accoutrement et de revenir nu.

A mon retour, seul Alain est présent dans la pièce.

" Je dois partir de bonne heure, se justifie t il. C'est moi qui vais commencer la séance. Tu m'as excité avec ta tenue de salope, suce moi et je vais t'enculer. Je suis pressé. " Ses mots sont crus à dessein.

Il a tôt fait d'enlever ses vêtements. Il est nu. Il bande. Je le prend dans ma bouche.

Il me questionne. Je ne peux lui répondre, il est impoli de parler la bouche pleine et vu la taille de son braquemard, elle est bien remplie

Une capote vient bientôt recouvrir son sexe érigé.

Il me retourne.

Je peux voir, au passage, Martine et Mr Paul qui contemplent le spectacle d'un grand noir doigtant l'anus serré d'un petit blanc sec pour le lubrifier.

Un doigt, deux doigts, trois doigts préparent le passage de sa queue tendue. Je pousse au maximum, essayant de me détendre pour ne pas trop ressentir son intromission.

Deux mains se posent sur mes hanches.

En une poussée il est en moi, forçant mes reins et m'arrachant un cri de douleur.

C'est la première fois que je reçois un tel calibre.

Il attend quelques instants que mes muscles soient habitués à son diamètre et il ressort.

" Tu as bien supporté le passage, maintenant je vais te calibrer"

Et il rentre violemment entre mes reins et commence ses va et vient.

Sa main s'abat sur mes fesses. Il m'insulte, me traite de trou à bites, de salope tout juste bonne se faire mettre...

Ses propres paroles l'excitent, moi aussi d'ailleurselles me font de l'effet.

Je n'ai pas encore eu le temps de m'habituer à sa grosseur que, déjà, je sens son membre gonfler davantage, ses mains se crisper sur mes hanches et un cri sortir de sa gorge quand son plaisir vient au fond de moi.

Il décule me laissant les sphincters chauds bouillants.

Sa queue flasque au bout de laquelle pend un préservatif bien rempli est l'objet de mes soins attentifs.

Comme Maître Jean me l'a appris, j'enlève le bout de caoutchouc et je nettoie doucement l'engin qui m'a possédé de ma langue bien humide.

Par Bruno - Publié dans : Soumission
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