Maîtresse,

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Comme vous me l'avez demandé, je dois faire étalage public de mes fautes pour que vous puissiez me punir comme je l'ai mérité.

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Je dois vous avouer que je n'ai pas été sage, vous vous en doutiez.

Je me suis senti délaissé, votre étreinte sur mon collier s'est relachée et, comme un vilain garnement que je suis, mon comportement a changé. Mes envies, mes vices ont pris le dessus.

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Rien n'a été prémédité, je n'ai jamais été l'esclave, le jouet, le chien de personne, mais j'ai fréquenté des lieux de perdition et j'ai eu de coupables relations.

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Je ne saurai rentrer dans les détails, ma honte m'en empêche.

Je le ferai publiquement si vous m'en donnez l'ordre.

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Je dois avouer que, pendant les longs moments de votre absence, je suis allé plusieurs fois aux saunas de Pau.

J'y ai fait quelques rencontres et j'ai eu des relations avec des personnes des 2 sexes.

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Dans ces relations , j'ai été tour à tour actif et passif mais toutes m'ont laissé un gout amer car je n'étais là que par dépit.

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Je ne sais pas si je dois aussi avouer le nombre de fois ou je me suis donné un plaisir solitaire en révant à vous..

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J'ai eu également, et je vous l'avoue humblement Maîtresse, la tentation de répondre favorablement aux sollicitations de Maîtres ou Maîtresses qui fréquentent le blog.

Je ne suis jamais allé plus loin que cette simple tentation, mais, rien que le fait d'y avoir songé , saurait mériter punition.

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Voilà Maîtresse,

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A vous de décider quelles mesures il convient de prendre pour me punir .

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Sachez simplement que le fait de ne pas vous avoir vu, de ne pas avoir eu de vos nouvelles, a été  en lui même, une punition bien plus cruelle que tous les tourments que vous pourriez m'infliger.

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                           Votre soumis qui attend à genoux votre sentence.