le blog fantasmes64
Dimanche : jour de repos. J'attendais une convocation... Rien ne vient. Tant mieux ou tant pis.... Je ne sais plus.
Lundi midi : J'ai des nouvelles de Mr Paul. Nous discutons un peu. Il me demande si j'ai apprécié la soirée de samedi.
Je lui rétorque que mon plaisir passe au second plan, que mon Maître m'a confié à lui, que je suis là pour obéir et lui donner satisfaction.
Il veut quand même savoir si ce genre de relations ne me rebute pas. Il es soucieux de mon ressenti et je lui en sait gré.
Je lui avoue que, oui, j'ai apprécié d'être exhibé, d'être traité en vide couille, en lopette. Oui je me suis laissé aller, emporté par ma sensualité. Et oui, j'ai eu honte une fois l'excitation passée.
Il m'attend ce soir après souper..... Il ne sera pas seul...
Lundi soir : 21 heures. Je sonne, il m'ouvre.
J'entend des bruits de voix dans le salon. Je file à la salle de bain. Une tenue de soubrette m'y attend.
Le petit tablier blanc de rigueur enfilé, je frappe à la porte du salon avant d'y pénétrer.
Un énorme éclat de rire m'accueille. Je sens le rouge me monter aux oreilles.
Outre Monsieur Paul, il ya aussi le grand bonhomme noir qui avait gagné une fellation et une belle femme blonde toute de noir vêtue.
" Je vous présente ma bonne dit Mr Paul hilares.Elle s'appelle Lopéta
"Alain tu la connais déjà, Martine tu vas faire sa connaissance. Lopéta, va présenter tes hommages à mes invités et sers nous à boire"
" Bien Monsieur"
Je m'approche de Martine le plateau à la main et je la salue. Elle se sert, me dévisage d'un air narquois.
" Qu'y a t il sous cette jupette?"
Elle la soulève pour inspecter ma tenue
Alain quant à lui me dit qu'il a déjà apprécié ma bouche et qu'il lui tarde de découvrir une autre facette de ma personnalité.... Doux euphémisme quand on sait à quoi il fait allusion.
Je m'attendais à tout sauf à le retrouver ici. J'ai encore le souvenir de la grosseur de son engin et j'ai quelques craintes pour la suitede la soirée.
Ils conversent maintenant entre eux comme si je n'étais pas là.
La discution tourne bien sur autour du sexe, de la domination, de leurs expériences, de leurs attentes, de leurs fantasmes.
Martine dit qu'elle apprécie les soumis virils, pas effeminés. Qu'elle adore pervertir et humilier les machos, les soumettre à sa volonté.
Monsieur Paul entend le message et m'ordonne d'aller enlever mon accoutrement et de revenir nu.
A mon retour, seul Alain est présent dans la pièce.
" Je dois partir de bonne heure, se justifie t il. C'est moi qui vais commencer la séance. Tu m'as excité avec ta tenue de salope, suce moi et je vais t'enculer. Je suis pressé. " Ses mots sont crus à dessein.
Il a tôt fait d'enlever ses vêtements. Il est nu. Il bande. Je le prend dans ma bouche.
Il me questionne. Je ne peux lui répondre, il est impoli de parler la bouche pleine et vu la taille de son braquemard, elle est bien remplie
Une capote vient bientôt recouvrir son sexe érigé.
Il me retourne.
Je peux voir, au passage, Martine et Mr Paul qui contemplent le spectacle d'un grand noir doigtant l'anus serré d'un petit blanc sec pour le lubrifier.
Un doigt, deux doigts, trois doigts préparent le passage de sa queue tendue. Je pousse au maximum, essayant de me détendre pour ne pas trop ressentir son intromission.
Deux mains se posent sur mes hanches.
En une poussée il est en moi, forçant mes reins et m'arrachant un cri de douleur.
C'est la première fois que je reçois un tel calibre.
Il attend quelques instants que mes muscles soient habitués à son diamètre et il ressort.
" Tu as bien supporté le passage, maintenant je vais te calibrer"
Et il rentre violemment entre mes reins et commence ses va et vient.
Sa main s'abat sur mes fesses. Il m'insulte, me traite de trou à bites, de salope tout juste bonne se faire mettre...
Ses propres paroles l'excitent, moi aussi d'ailleurselles me font de l'effet.
Je n'ai pas encore eu le temps de m'habituer à sa grosseur que, déjà, je sens son membre gonfler davantage, ses mains se crisper sur mes hanches et un cri sortir de sa gorge quand son plaisir vient au fond de moi.
Il décule me laissant les sphincters chauds bouillants.
Sa queue flasque au bout de laquelle pend un préservatif bien rempli est l'objet de mes soins attentifs.
Comme Maître Jean me l'a appris, j'enlève le bout de caoutchouc et je nettoie doucement l'engin qui m'a possédé de ma langue bien humide.